Le Parc national du Bic, jour 1

Comme nous n'avons camper qu'un jour à la fois depuis que j'ai acheté le West, il est temps pour la famille de passer à l'étape suivante. Et c'est grâce à notre grande amie Gabrielle que cela devient possible. Étant la fille la plus organisée du monde, elle est la seule personne à qui Marie-Ève fait confiance pour accompagner notre famille dans ce séjour sauvage (ouais, fallait pas se fier sur moi pour penser à tout, mais j'ai changé). On se sépare donc le menu et on se donne rendez-vous au Bic.

La fois où les freins m'ont lâché

Ça s'est passé dans le temps où j'enseignais sur la rive sud de Montréal, à Sainte-Catherine, à côté de Candiac.

Je partais de Drummondville tous les matins à 5:15, pour arriver à 7:00 à Sainte-Catherine. En Westfalia, c'est pas mal le temps que ça me prenait...

Bref, je roule sur la 132, relax, quand, tout à coup, le pick up en avant de moi laisse tomber quelque chose de sa boîte. Une bûche? Pas clair. Quoi qu'il en soit, ma triste tentative d'évitement fait que je l'entend cogner en dessous du West.

Quelle n'est pas ma surprise quand, au moment de prendre ma sortie, je constate que mes freins ne fonctionnent pas.

La fois où une lumière s'est allumée dans le tableau de bord

Bon, en démontant ma colonne de direction pour régler mon problème d'essuie-glaces, j'ai créé un autre problème.

La fois où mes essuie-glaces se sont arrêtés en plein milieu du parebrise

J'ai acheté Rossinante à la mi-mars (durant la relâche). Aussitôt, je me suis mis à aller travailler avec (même si je devais faire 1 heure 45 minutes d'autoroute pour me rendre à mon travail...).

Le trip à Boston, jour 3 (Salem)

On se lève, un peu poqués par notre nuit mouvementée. Après le déjeuné, on roule jusqu'au centre-ville. Un coup d'oeil au journal du jour me confirme que nous sommes au bon endroit :

Le trip à Boston, 2e nuit

Avant de parler de Salem, je dois vous raconter ce qui s'est passé cette nuit-là...

Le trip à Boston, jour 2

Le lendemain matin, on fonce vers Boston. À cette époque, j'ai si peur qu'on fasse du mal à Rossinante que je préfère la laisser dans un stationnement à l'extérieur de la ville pour prendre le métro vers Boston (comme laisser son char à Longueuil pour aller à Montréal, genre). Et si je me stationne à Logan, aussi bien monter jusqu'à l'étage le plus élevé pour avoir une belle vue sur la ville.

Le trip à Boston, jour 1

Dès que j'ai acheté Rossinante, PA, un chum de l'université, m'a fait promettre qu'on ferait un trip ensemble un de ses jours. Le premier été, j'ai dû m'habituer au West mais, la deuxième année, j'étais prêt. On a dealé avec nos blondes pour les laisser avec les enfants pendant trois jours et on est parti.

Le deuxième trip

Je m'ennuie déjà d'arpenter les routes du Québec à bord de Rossinante avec ma fille qui tripe et ma blonde qui essaie de relaxer, alors je vous raconte mon histoire de Magog (ayez pas peur, il y a des anecdotes, mais il faut aussi du contexte).

La première année...

... On n'a passé qu'une nuit dans le West.

Dès qu'elle apprend que j'ai acheté un Westfalia, ma mère -- qui m'a transmis sa passion du camping --, nous invite à passer une nuit avec son groupe de campeurs (ouais, plein de monde qui campent chaque fin de semaine ensemble dans des campings différents, ou comment faire changement sans rien changer). Avec beaucoup de réticence, ma blonde accepte de me suivre. À bien y penser, je ne sais pas à quel point je lui ai donné le choix.

Le retour à la maison

J'ai acheté le West à St-Paul-D'abbodsford et l'ai ramené à Montréal en pleine nuit, sous la pluie. Je n'avais pas conduit manuel depuis mes cours de conduit, une dizaine d'années plus tôt... Inutile de dire que ç'a été atroce.

Ce n'est que le lendemain que mes soeurs sont montés me rejoindre pour qu'on descende le West et mon char chez moi, à Drummondville. Disons que ça s'est mieux passé.

Ouaip, on est du monde expressif dans la famille.

Le reste de mes aventures se trouvent sur ce blogue. Bonne lecture !